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Poussant sous le soleil aride du sud-ouest des États-Unis, le jojoba est une plante naturelle pleine de vertus inégalées, appréciée dans le domaine des soins du corps et du bien-être. Sa graine est récoltée et pressée afin d’obtenir une cire jaune, utilisée en cosmétique et dans l’industrie. Elle s’emploie aussi bien en huile essentielle qu’en huile de massage ou encore comme crème hydratante.
Quelles sont les caractéristiques de l’huile de jojoba ?

Sous sa forme raffinée, elle est inodore et incolore. L’huile de jojoba est relativement stable et autorise une bonne conservation sur le long terme. Elle présente l’avantage de se substituer aux huiles animales, notamment à l’huile de baleine. Elle est également employée en fongicide contre le mildiou. Elle a même été étudiée pour en faire un biocarburant à coût réduit.
Comment utiliser l’huile de jojoba ?
Pour la détente
En huile de massage, elle détend et assouplit les pores de la peau et a un effet relaxant sur le système nerveux. Ajoutez quelques gouttes d’huile essentielle dans votre bain pour une relaxation optimale.
Pour les cheveux

Pour la peau
Grâce à ses composants actifs insaponifiables, elle hydrate et raffermit la peau. Elle protège du vieillissement et de la déshydratation. Elle est excellente pour le rééquilibrage des peaux spécialement sèches. Elle sert aussi de démaquillant et agit contre l’acné. Elle a la particularité de calmer les irritations épidermiques, grandement apprécié après le rasage. Elle est idéale pour soulager les brûlures et les coups de soleil, en offrant une belle cicatrisation.
Remarques
L’huile de jojoba s’emploie pure ou en association avec d’autres éléments cosmétiques. Elle peut servir de base, au même titre que l’huile d’amande douce. Si elle durcit, il suffit de la placer dans un bain-marie quelques minutes. Elle ne graisse pas et pénètre rapidement la peau. Ce produit demande une qualité bio, sans pesticide et sans produits chimiques. Choisissez une huile de première pression à froid, labellisée.
Cette plante résistante garantit aux agriculteurs qui la cultivent un revenu régulier. Ils n’auraient jamais pu se le procurer, si les entreprises de cosmétiques n’avaient pas été contraintes de trouver une alternative, suite à l’interdiction de la chasse au cachalot et au choc pétrolier des années 70.
